Rima Abdul-Malak, l’intermittente du racisme anti blanc

Rima Abdul-Malak, l’intermittente du racisme anti blanc

16 janvier 2024 | Bobards d'Or 2024

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En décembre dernier, la ministre de la Culture Rima Abdul-Malak donnait une conférence de presse afin d’annoncer le lancement d’un nouveau programme de formation, « La Relève ».

Ce pro­gramme vise à renou­ve­ler le vivier de recru­te­ment dans lequel puise le minis­tère de la Culture afin de nom­mer par décret les diri­geants de plus de 300 éta­blis­se­ments cultu­rels majeurs. Le but est de favo­ri­ser une plus grande diver­si­té par­mi ces indi­vi­dus « qui portent au quo­ti­dien la poli­tique cultu­relle et ses valeurs », pour reprendre les mots de la ministre. Elle ajoute que « La diver­si­té ce n’est pas que la cou­leur de peau » (10 min 22s), citant néan­moins ce cri­tère en pre­mier lieu. Ce cri­tère eth­nique semble d’autant plus impor­tant à ses yeux qu’à plu­sieurs reprises, elle se féli­cite d’avoir déjà atteint une grande fémi­ni­sa­tion et diver­si­fi­ca­tion sociale dans les nominations…

Les élus RN et Recon­quête sont mon­tés au cré­neau, dénon­çant cette forme de racisme anti blanc dont l’objectif est « de for­mer, d’accompagner et d’attirer » des pro­fils dif­fé­rents, qui seront « aux postes des éta­blis­se­ments cultu­rels dans 10 ou 20 ans » et d’avoir « un effet domi­no sur toute la socié­té ». Invi­tée sur le pla­teau de C à vous, la ministre a effec­tué un beau rétro­pé­da­lage et cer­ti­fie « j’ai à un moment dit que la diver­si­té on pense sou­vent que c’est la cou­leur de peau, mais dans mon esprit c’est la diver­si­té sociale et géo­gra­phique que je veux mettre en avant ». Elle n’omet pas ensuite de remettre la faute sur la mani­pu­la­tion de Recon­quête et du RN. Acquies­ce­ment géné­ral sur le plateau.