Darmanin prêche l’eau pure de la liberté d’expression et boit le vin de la répression
Il faut croire que c’est une véritable passion pour le ministre de l’Intérieur que de prendre les Français pour des imbéciles.
Pour cette XVᵉ édition, Polémia revient pour détricoter les plus grands mensonges des médias et de leurs alliés politiques !
De l’origine des émeutiers de juin jusqu’aux chiffres sur la bonne gestion de la mairie de Paris, nos dirigeants se distinguent par leur grande habilité à mentir : de Gérald Darmanin à Anne Hidalgo, en passant par Bruno Le Maire ou Marine Tondelier, c’est à celui qui sortira le plus gros Bobard ! Polémia ne pouvait laisser passer ça et décide de sévir en démasquant les bobardeurs politiques.
Car les mensonges des responsables politiques ne sont possibles que par la complicité délibérée des médias, Polémia décide pour la première fois cette année d’intégrer des politiques à la liste des Bobards.
Il faut croire que c’est une véritable passion pour le ministre de l’Intérieur que de prendre les Français pour des imbéciles.
En décembre dernier, Gerald Darmanin annonçait la dissolution du mouvement Academia Christiana et est intervenu à ce sujet sur CNews.
Suite à la vague d’émeutes urbaines survenues en France après la mort de Nahel à la fin du mois de juin, Gerald Darmanin s’est exprimé au Sénat quant à la situation du pays.
Nul en maths ? Violences survenues la nuit du Réveillon : les calculs ne sont toujours pas bons pour Darmanin…
Les Darmarinades font école ! La méthode a été amplement reprise cette année par les membres du gouvernement, à commencer par le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire.
Bien gérer sa mairie, selon Anne Hidalgo, ce n'est pas seulement creuser le déficit des comptes de la ville de Paris, c’est également trahir ses promesses de campagne.
L’ancien ministre de la Santé Aurélien Rousseau n’a pas démérité en termes de mensonges éhontés sur les plateaux de radio.
On ne comprend pas comment un gouvernement peut à ce point privilégier les étrangers au détriment de ses propres ressortissants.
Drame de Crépol : dans son édito du 27 novembre sur France 5, Patrick Cohen défend la « dizaine de jeunes […] venus pour s’amuser et draguer des filles ».
L’édito de Patrick Cohen évoquant un bal à l’issue tragique a inspiré Isabelle Veyrat-Masson, sociologue du CNRS, qui, sur Arte, se dit « très frappée par la ressemblance entre ce fait divers et Roméo et Juliette ».
Le traitement du drame de Crépol par l’AFP nous en dit long sur le positionnement de cette agence à l’influence prépondérante dans le paysage médiatique français.
Les premiers éléments de langages posés par l’AFP ont ruisselé sur la quasi-entièreté de la presse française, qui a tenté d’étouffer les faits en préférant utiliser les termes de « rixe », « affrontement » ou « bagarre entre jeunes ».
Les incivilités progressent, afin de lutter contre le phénomène, de nombreuses campagnes d’affichage, dont on ne saurait remettre en question l’efficacité, ont été menées.
En décembre dernier, la ministre de la Culture Rima Abdul-Malak donnait une conférence de presse afin d’annoncer le lancement d’un nouveau programme de formation, « La Relève ».
En mars 2023, alors que le mouvement de protestations contre la réforme des retraites bat son plein, la mairie de Bordeaux est victime d’une tentative d’incendie spectaculaire.
En juin 2023, Hakim Bouaksa, élu EELV à la mairie de la Seyne-sur-Mer, dépose plainte pour violences aggravées après avoir été agressé en marge d’un rassemblement de militants varois de Reconquête.
À la fin du mois de mars 2023, alors que la faculté d’Assas était bloquée pour la première fois de son histoire par des étudiants d’extrême-gauche.
En septembre dernier, sur Twitter, les députés LFI-NUPES Frédéric Mathieu et Thomas Portes, par ailleurs président de l’Observatoire National de l’Extrême droite, se sont indignés des tracts distribués par le Rassemblement national sur lesquels figure le slogan « Vivement le 9 juin ».
Intervention mensongère puisque contrairement à la plupart des journaux français, a fortiori la presse de gauche, dont Libération, Le Monde, L’Humanité, etc., Valeurs Actuelles ne perçoit pas de subvention étatique.
Cet été, les médias se sont mis le doigt dans l’œil du cyclone météorologique. La météo réelle n’a pas correspondu à l’alarmisme climatique officiel répercuté à l’envi par nos médias.